འགྱུར་བའི་སྡུག་བསྔལ། : Différence entre versions

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L’une des trois formes de souffrance <big><big>[[སྡུག་བསྔལ་གསུམ།]]</big></big>, elle désigne les sensations souillées plaisantes. De telles sensations ne sont pas des bonheurs authentiques puisqu’elles débouchent inévitablement, tôt ou tard, sur des souffrances manifestes. A l’inverse un bonheur véritable ne pourrait connaître la moindre dégradation. Les prāsaṅgika <big><big>[[དབུ་མ་ཐལ་འགྱུར་བ།]]</big></big> considèrent la souffrance du changement comme une simple atténuation provisoire de souffrances manifestes. Ex. s’asseoir après avoir marché longtemps : la sensation initiale plaisante est remplacée par de la souffrance si l’on reste assis trop longtemps.
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L’une des trois formes de souffrance <big><big>[[སྡུག་བསྔལ་གསུམ།]]</big></big> (s'y reporter pour plus de détails), elle désigne les sensations souillées plaisantes. De telles sensations ne sont pas des bonheurs authentiques puisqu’elles débouchent inévitablement, tôt ou tard, sur des souffrances manifestes. A l’inverse un bonheur véritable ne pourrait connaître la moindre dégradation. <br><br>
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L'école prāsaṅgika <big><big>[[དབུ་མ་ཐལ་འགྱུར་བ།]]</big></big> considèrent la souffrance du changement comme une simple atténuation provisoire de souffrances manifestes. Ex. s’asseoir après avoir marché longtemps : la sensation initiale plaisante est remplacée par de la souffrance si l’on reste assis trop longtemps.
 
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Version actuelle datée du 16 octobre 2022 à 06:13

vipariṇāmaduḥkhatā

Souffrance du changement


L’une des trois formes de souffrance སྡུག་བསྔལ་གསུམ། (s'y reporter pour plus de détails), elle désigne les sensations souillées plaisantes. De telles sensations ne sont pas des bonheurs authentiques puisqu’elles débouchent inévitablement, tôt ou tard, sur des souffrances manifestes. A l’inverse un bonheur véritable ne pourrait connaître la moindre dégradation.

L'école prāsaṅgika དབུ་མ་ཐལ་འགྱུར་བ། considèrent la souffrance du changement comme une simple atténuation provisoire de souffrances manifestes. Ex. s’asseoir après avoir marché longtemps : la sensation initiale plaisante est remplacée par de la souffrance si l’on reste assis trop longtemps.