རྫུ་འཕྲུལ་སྡིག་ལ་སོགས་མི་བྱེད།
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2.46. Ne pas avoir recours aux pouvoirs supranaturels pour intimider, ou autres
Il s'agit de la dernière des quarante-six fautes secondaires à l'encontre des vœux de bodhisattva ཉེས་བྱས་ཞེ་དྲུག et parmi elles de la dernière à l'encontre de l’aide apportée à autrui སེམས་ཅན་དོན་བྱེད་ཀྱི་ཚུལ་ཁྲིམས།.
Dans le dixième chapitre des Terres des bodhisattva བྱང་ས།, ārya Asaṅga ཐོགས་མེད། la décrit ainsi :
- « Au cas où un bodhisattva, qui détient des facultés paranaturelles, supranaturelles et de divers autres pouvoirs, ne fait pas en sorte d’effrayer ceux à qui il conviendrait de faire peur, d’emplir d’aspiration ceux à qui il conviendrait d’emplir d’aspiration, ne terrifie pas ou n’inspire pas d’aspiration grâce à ses facultés paranaturelles à ceux qu’il faudrait faire cesser de consommer ce qui a été offert avec foi, il y a faute et transgression, et c'est une faute dissociée des facteurs perturbateurs.
- Si les êtres concernés ont des opinions bien ancrées, sont des tīrthika མུ་སྟེགས།, dénient les ārya འཕགས་པ། et entretiennent les vues fausses, il n'y a pas de faute à ne pas recourir aux pouvoirs. »