བསམ་པའི་སྟོབས། : Différence entre versions

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Elle constitue l’une des six forces <big><big>[[སྟོབས་དྲུག ]]</big></big> qui permettent de parcourir les neuf stades mentaux <big><big>[[སེམས་གནས་དགུ ]]</big></big> menant au calme mental <big><big>[[ཞི་གནས།]]</big></big>. <br>
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Elle peut s'entendre de différentes manières : la réflexion que nous menons entre les sessions pour intégrer de manière plus personnelle la manière de méditer, ou le fait de recourir à des méthodes bien spécifiques au moment des sessions elles-mêmes, comme de compter chaque double mouvement de nos respirations lors d'une méditation sur le souffle. Dans ce dernier cas, compter les respirations peut contribuer, au début de l'entraînement, à ne pas perdre le fil, et à réduire la grande variété des pensées qui traversent spontanément notre esprit à cette seule brève énumération, amenuisant ainsi l'influence de la dispersion grossière.
 
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Version du 15 octobre 2021 à 18:03

cintā bala

Force de la réflexion


Elle constitue l’une des six forces སྟོབས་དྲུག qui permettent de parcourir les neuf stades mentaux སེམས་གནས་དགུ menant au calme mental ཞི་གནས།.

Il s’agit plus précisément de la réflexion བསམ་པ། qui conduit à ne pas s’engager dans les facteurs perturbateurs ཉོན་མོངས།, et notamment la dispersion grossière རྒོད་པ་རགས་པ།, durant le second de ces neuf stades, appelé placement continu རྒྱུན་དུ་འཇོག་པ།.

Elle peut s'entendre de différentes manières : la réflexion que nous menons entre les sessions pour intégrer de manière plus personnelle la manière de méditer, ou le fait de recourir à des méthodes bien spécifiques au moment des sessions elles-mêmes, comme de compter chaque double mouvement de nos respirations lors d'une méditation sur le souffle. Dans ce dernier cas, compter les respirations peut contribuer, au début de l'entraînement, à ne pas perdre le fil, et à réduire la grande variété des pensées qui traversent spontanément notre esprit à cette seule brève énumération, amenuisant ainsi l'influence de la dispersion grossière.